11 mai 2008
Zen et cerisier japonais
Allongé à l'ombre d'un cerisier
Je n'ai plus aucune pensée
Le vent glisse sans s'arrêter
Tout mon corps est alors transporté
Le bruissement des feuilles, le mouvement de la nature
Autour de moi ne cesse de m'appeler par leur murmures
Je plonge dans mes songes tout en étant conscient
Rien n'est plus marqué par l'espace ni par le temps
Les murmures se font musiques puis
En les écoutant je me réfugie dans un abri
Fait de sensation et spirituel
C'est mon gardien et il est éternel.
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